
Une course contre la montre est engagée.
Alors que le coronavirus se propage dangereusement, nous ne disposons pour le moment d’aucun médicament ni vaccin pour y faire face.
Et pourtant, sous couvert de réglementer les allégations nutritionnelles et de santé portant sur les denrées alimentaires, la directive 1924/2006 CENSURE purement et simplement les informations sur l’existence de solutions complémentaires naturelles en cas d’infection virale. (1)
Bien sûr, aucune de ces molécules ne peut être considérée aujourd’hui comme un « remède miracle » contre le coronavirus.
Mais des études scientifiques rigoureuses reconnaissent clairement l’intérêt de certaines substances naturelles qui tombent aujourd’hui sous le coup de cette censure :
Preuve n°1 : un article scientifique publié le 12 février 2020 et basé sur plusieurs études cliniques humaines révèle que la N-AcétylCystéine (NAC), un acide aminé essentiel pourrait réduire la gravité des symptômes respiratoires en cas de grippe ou de coronavirus. (2)
Preuve n°2 : une étude a montré qu’un manque de sélénium augmente le risque de contagion des maladies infectieuses virales (grippe, SRAS, Ebola, grippe porcine, grippe aviaire, coronavirus…). (3)
Preuve n°3 : en Chine, l’épicentre de la contagion, des doses élevées de vitamine C sont utilisées en ce moment même pour combattre le coronavirus. (4)
Il existe des dizaines d’autres moyens naturels ayant prouvé leur intérêt contre les virus.
Mais vous êtes privé de ces solutions car le règlement 1924/2006 prévoit des sanctions sévères contre ceux qui distribuent ces produits naturels.